10’000 CHF ? 20’000 CHF ? 50’000 CHF ? 100’000 CHF ? Quelle offre accepter ?
La cherté n’est pas qu’une question de prix !
Le prix est très souvent la première interrogation. Néanmoins, il est indispensable de mettre également dans la balance les futurs services rendus par cet investissement. Oui, il s’agit bien d’un investissement dont il est légitime d’en attendre un retour sonnant et trébuchant…
Sur quels critères s’appuyer ?
Deux paramètres primordiaux sont à considérer en vue d’atteindre la rentabilité souhaitée du projet.
Le premier est la solution software elle-même. Un benchmark préalable aura sans doute été rassurant sur ses capacités.
Le second paramètre réside dans la capacité de l’entreprise à bien accueillir son nouvel allier !
Est-elle armée pour ce projet ? Les attentes sont-elles claires ? Les domaines d’application sont-ils identifiés ? Une équipe aura-t-elle le temps, la compétence et la motivation pour s’investir dans le projet ?
A l’heure du premier bilan, voilà des questions dont les réponses feront osciller le sentiment de succès entre euphorie et désespoir… Le but est clairement de ne pas tomber dans la sous-utilisation de l’outil BI ou CPM.
Alors c’est quoi le bon prix ?
La réponse ne se trouve pas dans la valeur indiquée en bas de l’offre où, en fonction de la taille de l’entreprise, une plage de prix est considérée comme acceptable. Un engagement financier bien évalué est proportionnel à la capacité des acteurs de l’entreprise à s’investir.
Le meilleur outil n’est pas le moins cher mais bien le plus rentabilisé. Et cela dépend beaucoup de l’acquérant !
